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BILAN D’EXTENSION ET DE RÉSÉCABILITÉ
CHIRURGICALE 1,2

A l’issue du bilan initial, devant une masse suspecte de cancer de l’ovaire, un bilan d’extension et de résécabilité chirurgicale est réalisé afin de choisir l’option thérapeutique la plus adaptée.
1,2

Scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection

Scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection

  • Le scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection permet d’évaluer l’extension du cancer et de préciser les localisations tumorales pouvant compromettre une résection chirurgicale complète. C’est l’examen recommandé pour le bilan d’extension et de résécabilité. 2,3 
  • Il permet entre autre de préciser s’il existe une atteinte des organes de voisinage et une atteinte à distance et de présumer du stade du cancer de l’ovaire précoce ou avancé. 2
  • En cas de contre-indication à l’injection d’un agent de contraste iodé, une IRM abdomino-pelvienne complétée d’un scanner thoracique sans injection peut être proposée à la place. 2
Bilan pré-opératoire

Bilan pré-opératoire

  • Le bilan pré-opératoire comprend une évaluation de l’état général de la patiente, un bilan biologique complet, un bilan nutritionnel et une évaluation gériatrique pour les patientes de 75 ans ou plus. 1,4
Cœlioscopie exploratoire dans les stades présumés avancés

Cœlioscopie exploratoire dans les stades présumés avancés

  • Dans les stades présumés avancés de cancer de l’ovaire, une cœlioscopie exploratoire avec multiples biopsies est recommandée pour évaluer la résécabilité chirurgicale permettant d’obtenir un résidu tumoral nul. 2
  • La cœlioscopie permet de diminuer de 30 % le nombre de laparotomie conduisant à une chirurgie non optimale et de réaliser un diagnostic histologique à partir des différentes biopsies effectuées. 2

Références :

  1. INCa. Cancer de l’ovaire : du diagnostic au suivi. Outils pour la pratique. Juillet 2019.
  2. Lavoué V et al. Partie 1 rédigée sur la base de la recommandation nationale de bonnes pratiques cliniques en cancérologie intitulée “Conduites à tenir initiales devant des patientes atteintes d’un cancer épithélial de l’ovaire” élaborée par FRANCOGYN, CNGOF, SFOG, GINECO-ARCAGY et labélisée par l’INCa. (Explorations diagnostiques et bilan d’extension, chirurgie, soins opératoires et anatomopathologie). Gynécologie Obstétrique Fertilité & Sénologie 2019 ; 47 : 100-110.
  3. Thomassin-Naggara I et al. Valeur diagnostique de l’imagerie (échographie, doppler, scanner, IRM et TEP-TDM) pour le diagnostic d’une masse ovarienne suspecte et le bilan d’extension d’un cancer de l’ovaire, des trompes ou péritonéal primitif. Article rédigé sur la base de la recommandation nationale de bonnes pratiques cliniques en cancérologie intitulée “Conduites à tenir initiales devant des patientes atteintes d’un cancer épithélial de l’ovaire” élaborée par FRANCOGYN, CNGOF, SFOG, GINECO-ARCAGY sous l’égide du CNGOF et labellisée par l’INCa. Gynécologie Obstérique Fertilité & Sénologie 2019 ; 47 : 123-133.
  4. APHP. Référentiel Cancers de l’ovaire. Juin 2016.