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LE CANCER DE L’OVAIRE : POINTS CLÉS 1-2

  • Un cancer se développant à partir des différentes cellules composant les ovaires [1]

    Les ovaires
    • Dans plus de 90 % des cas, les cancers de l’ovaire se développent au niveau des cellules épithéliales de l’ovaire. 1,2
    • Ce sont des cancers épithéliaux ou adénocarcinomes dont il existe plusieurs sous-types. 1,2

     

  • Un cancer longtemps silencieux [2]

    Un cancer longtemps silencieux
    • Du fait de la situation anatomique des ovaires, une tumeur ovarienne peut atteindre un volume important avant de provoquer des symptômes très variés et non spécifiques (troubles digestifs, symptômes urinaires, douleurs pelviennes, ou abdominales…).

     

  • Un diagnostic souvent tardif [2]

    Un diagnostic souvent tardif
    • Les 3/4 des patientes sont diagnostiquées à un stade avancé, c’est-à-dire avec une diffusion du cancer au-delà des ovaires. 3
    • Les examens à visée diagnostique comprennent une échographie pelvienne par voie sus-pubienne et par voie endovaginale, une IRM pelvienne et la recherche de marqueurs tumoraux sériques.
    • Le diagnostic de certitude est anatomopathologique.
  • Une prédisposition génétique dans 15 à 20 % des cas [2]

    Une prédisposition génétique dans 15 à 20% des cas
    • Certaines mutations génétiques prédisposent au cancer de l’ovaire telles que les mutations des gènes BRCA 1 et 2 et peuvent être évoquées devant des antécédents personnels et familiaux de cancer du sein ou cancer de l’ovaire.
  • Une prise en charge globale et multidisciplinaire [1,2]

    Une prise en charge globale et multidisciplinaire
    • La prise en charge comprend non seulement le traitement du cancer reposant sur la chirurgie et la chimiothérapie, mais aussi la prévention lorsque cela est possible des effets secondaires de la maladie et des traitements, notamment la fatigue, la douleur ou la souffrance morale. 
    • Cette prise en charge est réalisée par des professionnels de différentes spécialités : gynécologue, oncologue médical, chirurgien, anatomopathologiste, psychologue, spécialiste de la douleur, infirmier, kinésithérapeute, …, en lien avec le médecin traitant.

Références :

  1. INCa. Les traitements des cancers de l’ovaire. Novembre 2010.
  2. INCa. Cancer de l’ovaire : du diagnostic au suivi. Outils pour la pratique. Juillet 2019.
  3. Lavoué et al. Prise en charge initiale du cancer épithélial de l’ovaire. Introduction aux Recommandations de pratiques cliniques françaises communes de FRANCOGYN, CNGOF, SFOG, GINECO-ARCAGY et labélisés par l’INCa. Gynécologie Obstétrique Fertilité & Sénologie 2019 ; 47 : 93-94.