Médecin qui parle à un patient

SHINGRIX : Recommandations du CCNI et du CIQ

Patient et médecin fictifs. 

Recommandation du CCNI

Îcône de crochet

Le Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI) recommande que SHINGRIX soit offert aux adultes de 50 ans ou plus (forte recommandation)1.

Selon le CCNI, la forte recommandation s’applique à la plupart des personnes et devrait être suivie, à moins qu’il n’existe une raison claire et convaincante d’opter pour une approche différente1.

Veuillez consulter la déclaration du CCNI sur le site Web de l’Agence de la santé publique pour obtenir plus de renseignements.

©Tous droits réservés. Une déclaration d’un comité consultatif (DCC), Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI) – Recommandations à jour sur l’utilisation des vaccins contre le zona. Agence de la santé publique du Canada, mise à jour : 2018. Adaptation et reproduction autorisées par le ministère de la Santé, 2018.

Recommandation du CIQ

Îcône de crochet

Le Comité sur l’immunisation du Québec (CIQ) recommande l’utilisation préférentielle de SHINGRIX chez :

  • les adultes de 50 ans ou plus;
  • les adultes immunodéprimés* âgés de 18 ans et plus.

Les populations immunodéprimées sont hétérogènes et leur niveau de compétence immunitaire dépend de nombreux facteurs, notamment la gravité et la durée de la maladie, sa stabilité clinique, les complications et les maladies concomitantes, et tout traitement potentiellement immunosuppresseur. Il se peut qu’il n’existe pas de données sur l’innocuité et l’immunogénicité de SHINGRIX concernant tous les adultes qui présentent un risque accru de zona. Il faut tenir compte des patients au cas par cas.

* Le PIQ décrit les causes d’immunodépression importantes comme étant3 :

  • Déficience immunitaire congénitale (p. ex., syndrome de Di George, agammaglobulinémie ou hypogammaglobulinémie).
  • Leucémie, lymphome, myélome multiple ou cancer non hématologique (immunodépression causée par la maladie, la chimiothérapie ou la radiothérapie).
  • Agents immunodépresseurs (chimiothérapie, radiothérapie, corticostéroïdes, agents biologiques).
  • Déficits immunitaires acquis (p. ex., infection par le VIH et sida).

Références

  1. Agence de la santé publique du Canada. Une déclaration d’un Comité consultatif (DCC), Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI) – Recommandations à jour sur l’utilisation des vaccins contre le zona. Ottawa, Ontario : Agence de la santé publique du Canada; juin 2018. Disponible au : https://www.canada.ca/fr/services/sante/publications/vie-saine/recommandations-jour-utilisation-vaccins-contre-zona.html.
  2. Reproduction de l’information tirée du PIQ, 7e éd. Section Zona-SU. Disponible au : http://www.msss.gouv.qc.ca/professionnels/vaccination/piq-vaccins/zona-su-vaccin-sous-unitaire-contre-le-zona/. La version française originale de cette information a été publiée en 2021 par le ministère de la Santé et des Services sociaux. Le Ministère décline toute responsabilité à l’égard des dommages, pertes ou blessures pouvant résulter de la traduction en anglais. En cas de contradiction entre les versions anglaise et française de l’information présentée, le français aura préséance sur l’anglais. Le gouvernement du Québec est et demeure l’unique détenteur des droits d’auteur attachés à la publication en français. Le ministère de la Santé et des Services sociaux n’a pas validé la version anglaise.
  3. Protocole d’immunisation du Québec (PIQ). Vaccinologie pratique Immunodépression. https://www.msss.gouv.qc.ca/professionnels/vaccination/piq-vaccinologie-pratique/immunodepression/. Consulté le 12 janvier 2022.
  4. Monographie de SHINGRIX. GlaxoSmithKline Inc., 15 novembre 2022.

 

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